Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 16:35

Je fais suite à ce premier article :




dédié au rôle du CHSCT et à la recommandation de le saisir en cas d'accident grave.

Hier, le rapport d'expertise en risques psycho-sociaux concernant mon ex-département a été présenté au CHSCT : 90 pages d'analyses et de préconisations.

Les 6 syndicats présents ont trouvé le moyen de se tenir tête devant la direction : lutte d'influence, ou peur qu'il n'y ait des cadavres dans le placard qui puissent être découverts.

Enfin, j'ai pu entrer en contact avec le secrétaire du CHSCT qui prend des risques et se fait menacer par les représentants d'autres syndicats... Certains représentants syndicaux m'avaient dit la semaine dernière qu'il n'était pas facile, et au contraire, nous avons eu un très bon contact (donc ne jamais baisser les bras devant les manoeuvres d'intox !).

C'est lamentable, et explique pourquoi la souffrance au travail peut continuer à dégénérer.

J'ai appris qu'un des suicidés s'était défenestré devant ses enfants.

Pour moi, c'est la galerie des horreurs ! J'en apprends peu à peu, à chaque fois, et cela ne s'améliore guère.

Ils semblent tous (beaucoup d'hommes : machistes les syndicalistes ?) assez insensibles par rapport à xes faits. Moi qui suis "écorchée vive", j'ai encore ressenti brutalement cette nouvelle;

Il n'est pas facile de l'extérieur d'obtenir les noms, les numéros de téléphone de tous ces représentants, les standards d'entreprise n'ont pas toujours les bonnes infos, et on peut se balader de poste en poste.

Quand en plus, on est vraiment malade suite à ces faits, les maux de crâne et le découragement devant le moindre obstacle ont vite faits de vous faire baisser les bras.

Dans les pathologies constatées dans un tel contexte, il y a notamment l'impossibilité de lire.  J'ai repris peu à peu, mais tous les textes un peu puissants et alambiqués ne parvenaient pas à mes cellules de compréhension.

Chez mon psychiatre, d'autres malades me voyant lire des livres m'ont avoué n'être plus capables que de lire des bandes dessinées. L'une d'entre elles travaillait à la Bibliothèque Nationale...
Voilà le travail de ses harceleurs et leurs résultats.. ce n'est pas neutre !

Partager cet article
Repost0
9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 14:15

Beaucoup de commentateurs me l'ont dit :

- dans les grandes entreprises, il y a des syndicalistes, des CHSCT, des possibilités autres que pour de petites entreprises.

- Un délégué du personnel ne peut être élu qu'à partir de 10 salariés, c'est pourquoi, beaucoup de patrons de petites entreprises ne veulent pas passer cette barre.

Un comité d'entreprise doit être mis en place à partir de 50 salariés.

Pour avoir travaillé pour des petites, voire micro-entreprises où j'étais complètement la seule salariée, je dois dire que tout dépend du patron, et parfois on vit plus heureux dans les petites entreprises.

Il existe des secteurs porteurs : informatique, assurance, construction de luxe, qui permet de bien payer les salariés et de faire profiter davantage.

La petite entreprise vous apportera davantage de responsabilités, de contraintes.

Dans les grandes entreprises, surtout à l'heure actuelle, les salariés sont contraints de supporter les bouleversements, et de se laisser flotter.

Un des points assez difficiles du droit et qui met en difficulté beaucoup de salariés au niveau organisation, c'est la notion selon laquelle l'employeur est seul "maître à bord" et qu'il peut décider de vous affecter à n'importe quel poste, vous changer le contenu de vos tâches selon sa "bonne humeur".

Si nous étions dans un contexte de plein emploi, donc où il est facile d'en changer, les employeurs seraient plus "soucieux" de l'avis du personnel quant à son affectation.

A l'heure actuelle, c'est "la porte est grande ouverte !". Alors, fatalement de nombreux abus sont commis.

Cependant, en matière de harcèlement, il ne peut :

* rétrograder sans motif valable,
* mettre au placard, c'est-à-dire vous priver de tâches à effectuer,
* ou surcharger votre poste à l'excès.

Bien sûr, vous pouvez faire connaître votre opinion, mais prudence, le chef d'entreprise imbu de ses fonctions aura vite fait de mal prendre vos "protestations". Plus il est orgueilleux, sûr qu'il est le plus intelligent, qu'il a "droit de vie ou de mort sur vous" (parti un peu dans un délire mégalomane), plus vous avez intérêt à le "brosser dans le sens du poil".

C'est ce qu'il m'est arrivé, j'ai protesté sur une réorganisation et une affectation de tâches, j'ai démontré qu'il y avait déséquilibre, je me suis pris un vent contraire. Mais que faire dans ce cas de figure, où de toute façon votre responsable hiérarchique a décidé de vous en faire baver et de vous imposer sa "loi" ? Pas grande solution, c'est bien le problème de base...

Quand vous êtes dans le collimateur, c'est comme dans le tambour d'une machine à laver, vous n'avez plus qu'à attendre l'essorage et l'expulsion.


Partager cet article
Repost0
4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 15:25
insignifiants, c'est cela le harcèlement moral, et c'est à partir de cela que vous allez devoir convaincre des juges peu disposés à vous écouter, pensant que vous cherchez à tirer de l'argent supplémentaire par rapport aux critères normaux :

voici un petit rappel... je crois que nous ne le répéterons jamais assez !
http://www.inrs.fr/inrs-pub/inrs01.nsf/inrs01_catalog_view_view/901E8B6EF8710A73C1256CF00058B417/$FILE/print.html



retour au menuCe qu’il faut retenir

Les violences internes sont exercées au sein d’une entreprise par une personne ou un groupe de personnes, détenteur ou non d’une autorité hiérarchique, à l’encontre d’autres salariés. Elles incluent les cas de harcèlement moral et/ou sexuel. Elles peuvent prendre également la forme d’agressions verbales ou d’insultes, de brimades, d’intimidations, de conflits ou d’agressions physiques entre salariés…

Pris isolément, certains de ces agissements peuvent parfois sembler sans conséquences. Mais leur répétition au quotidien peut affecter gravement les salariés et avoir des répercussions importantes sur leur santé, physique et psychologique. Ils peuvent également dégrader le climat social de l’entreprise.

La dégradation des relations de travail qu’elles entraînent s’appuie assez fréquemment sur des dysfonctionnements ou des problèmes d’ordre organisationnel. L’absence de soutien social, de solidarité, de contre-pouvoir dans l’entreprise joue également un rôle, à la fois sur la survenue de ces violences et sur la capacité des salariés à y faire face.

Les violences internes font partie de ce que l’on appelle les risques psychosociaux. Leur prévention repose sur une démarche identique à celle décrite pour le stress au travail. Elle ne peut être mise en œuvre qu’avec une implication de la direction, de l’encadrement et des représentants des salariés. C’est une démarche qui passe par un prédiagnostic, la mise en place d’un groupe projet, un diagnostic approfondi, une restitution des résultats, l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan d’action et le suivi des actions.

Pour des situations urgentes, des réponses plus rapides sont à proposer aux salariés en difficulté. Les intervenants possibles sont le médecin du travail, le responsable hiérarchique, les ressources humaines, l’employeur et les représentants du personnel.



J'ai retrouvé dans mon dossier en triant, des descriptifs d'attitudes à mon égard de mes "chères collègues", des personnes dans la société qui étaient là depuis fort longtemps., donc qui pensaient que c'était normal, moi la petite nouvelle, que j'en fasse beaucoup plus qu'elles même, alors que c'est elles qui devaient récupérer promotions et augmentations.

Or, lors de celles-ci, la Direction en place a décidé de promouvoir et d'augmenter en fonction du travail réellement effectué, et encore plus de rage de celles-ci à mon encontre, sans qu'elles puissent se remettre en question sur leurs implications dans le travail.

C'est des témoignages contraires ayant pour but de me priver de mes droits : comme le paiement d'heures supplémentaires, établis par ces personnes que j'ai retrouvés aussi dans mon dossier. manipulées certes par le harceleur principal, mais je suis sûre qu'elles étaient heureuses de me jouer ce genre de blague (?).

Surtout notez bien tout, détail après détail : n'hésitez pas à envoyer des mails à produire devant les tribunaux. Ce sont des dossiers volumineux faits de détails, mais ce n'est qu'à ce prix que vous aurez de la chance de voir votre préjudice reconnu.
Partager cet article
Repost0
28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 15:51
Vous êtes dedans à vous battre, vous en êtes sorti et en pleine bataille juridique de reconnaissance :

- pensez à vous protéger vous et vos proches.

Souvent des séparations sont constatées : faites attention de ne pas leur en demander trop, car ils souffrent comme vous !

Ce n'est pas la peine de répandre le mal, et surtout exprimez-vous.. ou si cela déborde, écrivez-le sur une feuille, sur l'ordinateur : votre état d'esprit, vos malaises, vos difficultés.

Allez marcher, allez courir, allez dormir !

Il faut de la force pour renverser la tendance. Essayez aussi d'entrer en contact avec d'autres victimes, ce sont elles seules qui pourront vraiment vous comprendre !

Partager cet article
Repost0
21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 18:56
Contrairement à ce qui était divulgué dans les sites et forum de harcèlement, il est plus intéressant de porter plainte contre X directement au Pénal.

Comme vous risquez de vous heurter au refus de prise en considération par des policiers peu consciencieux, écrire une Lettre au Procureur du site de votre emploi. De toute façon, vous serez convoqué pour un PV d'audition.

Se munir de toutes vos preuves papier : mails, lettres, attestations si vous arrivez à en récupérer.

Ne comptez pas non plus sur l'aide des avocats, vous serez seul avec le policier qui prendra votre déposition.

Donc inutile de payer des honoraires comme je l'ai fait lundi dernier à un avocat incapable de vous en dire plus.

Surtout pensez à vous entourer au niveau médical : surtout des spécialistes "psy".. les généralistes n'ont pas suffisamment de connaissance.

Contactez aussi les bureaux d'aide aux victimes auprès du Tribunal de Grande Instance de votre département.

Ne comptez pas non plus sur les syndicats qui n'y connaissent pas grand chose au harcèlement, plus intéressés à se livrer à leurs luttes d'influence inter-syndicales.

Bref, ne comptez que sur vous, même vos collègues qui vous ont manifesté le plus de sympathie dans les premiers temps.. se défileront dès qu'il faudra passer à l'action, c'est-à-dire au témoignage.

Relisez bien le PV qui vous est maintenant remis... N'hésitez pas à pleurer, n'ayez pas honte de votre état, ce sont les harceleurs qui doivent avoir honte de se conduire comme des sauvages.

Voici un nouveau site que je viens de découvrir et qui parle des modalités de plainte au pénal :
http://www.cabinet-alina-paragyios.fr/etudes-harcelement-moral-travail/plainte-harcelement-moral-travail.html


Delai de Prescription

Du point de vue pénal, le harcèlement moral est un délit et le délai de prescription des délits est de 3 ans. L’article 8 du Code de procédure pénale prévoit qu’« en matière de délit, la prescription de l'action publique est de trois années révolues ».


une analyse intéressante sur le harcèlement moral vs stress, violence, cible sur un salarié pour le détruire :
http://www.cabinet-alina-paragyios.fr/etudes-harcelement-moral-travail/stress-conflit-agressions-mauvaises-conditions-harcelement-moral-travail.html

4. Les mauvaises conditions de travail :
« Les conditions de travail recouvrent tout ce qui dans la vie professionnelle n’est pas le travail lui-même mais ce qui l’entoure, ce qui l’accompagne, s’y trouve lié, associé » .
On peut distinguer les conditions matérielles de travail pénibles (bureau étroit, mauvais éclairage, siège inadapté, bruit..) qui diffèrent de la notion de harcèlement moral.
En revanche, les conduites abusives liées aux conditions de travail matérielles et humaines peuvent devenir dommageables pour tout salarié et constituer un acte de harcèlement en soi. Si un seul salarié est traité spécialement ainsi, ou si cela est destiné à le décourager, elle devient harcèlement si le but est de détruire le salarié.




http://www.cabinet-alina-paragyios.fr/etudes-harcelement-moral-travail/accident-harcelement-moral-travail.html

Vous y trouverez aussi l'analyse de l'accident de travail vs harcèlement moral.
La jurisprudence a considéré de manière constante qu’il fallait remplir trois conditions cumulatives pour retenir la qualification d’accident du travail :
1) La soudaineté de l’événement, du fait accidentel
2) Une lésion corporelle qui trouve son origine dans le fait accidentel. Cette lésion corporelle est entendue au sens large puisqu'il peut aussi bien s'agir de dommages physiques que de troubles psychologiques.
3) Un lien entre l’accident et le travail


L’article L.452-1 CSS prévoit que : « Lorsque l’accident est du à la faute inexcusable de l’employeur ou de ceux qu’il s’est substitué dans la direction, la victime ou ses ayants droits ont droit à une indemnisation complémentaire dans les conditions définies aux articles suivants. »


Partager cet article
Repost0
8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 12:02
Savez-vous que chaque département a ce type d'association, mis au point par les Procureurs eux-mêmes...

Elles s'occupent des victimes de violence, d'escroquerie,etc

Vous pouvez consulter leurs juristes, avoir droit à une aide psychologique.

J'ai appris vendredi qu'il existait une permanence à mon commissariat (qui a refusé de prendre ma plainte en avril) le lundi matin et jeudi après-midi.

Le policier qui était au bureau d'accueil a omis de m'en parler.

Donc, n'hésitez pas à rechercher les liens sur internet. C'est important, pour les victimes de harcèlement moral, surtout quand il y a séquelles avec perte d'emploi, et remise en question de toute la vie et de l'avenir.

Je vais essayer de voir la juriste demain;

Voici le site pour mon département, et leur objet...

http://www.adavip92.org/p_255.html?id=255
 
UNE AIDE POUR LES VICTIMES DANS LES HAUTS-DE-SEINE

  Vous avez été victime:

  • d’une agression,
  • de violences conjugales,
  • de violences sexuelles
  • de menaces
  • d’un vol,
  • de racket
  • d’un cambriolage;
  • d’une escroquerie,
  • d'abus de confiance,
  • d’un accident de la circulation
  • d’un accident du travail,
  • ou de toutes autres infractions
Une association est à votre disposition

  L’ADAVIP-92, association d’aide aux victimes d’infractions pénales dans les Hauts-de-Seine, est à votre disposition pour :

  • vous écouter,
  • vous informer sur vos droits : l’organisation de la justice, la procédure après votre plainte, l’aide juridictionnelle, le rôle de l’avocat, vos droits à l’indemnisation etc,
  • vous aider et vous orienter dans vos démarches,
  • vous proposer de rencontrer l’un de ses psychologues

Tous les services de l’ADAVIP-92 sont gratuits et confidentiels






Renseignez-vous ! Je trouve encore honteux que les commissariats n'informent pas dans ce sens !
Partager cet article
Repost0
14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 12:18
ceux de la SPA (Société Protectrice des Animaux).

Pourquoi pas les salariés abandonnés dans la souffrance du harcèlement ?

C'est la raison d'être de ce blog !

Merci de le soutenir par vos visites régulières.

Il faut que cela cesse : ces conduites de petits chefs, chefaillons, cadrillons... Ils ont toujours exister certes, mais à l'heure actuelle, ils ont tendance à se cloner plus vite que la Brebis Dolly (paix à son âme !).

Dans les périodes de désordre (comme la crise économique actuelle), c'est toujours là que se révèle le pire de l'âme humaine.

Armons-nous, pas avec de véritables armes, mais avec un bouclier anti-effraction, anti-atomique, anti-démolition.

Refusons de devenir une "variable d'ajustement économique", d'être baladé de poste en poste, sans pouvoir discuter, ni mettre en avant d'éventuelles idées d'améliorations ou d'adaptations.

Ne nous laissons pas museler ! Défendons notre droit à un travail dans des conditions "raisonnables"... comme les "offres" du Pôle Emploi...
Partager cet article
Repost0
10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 18:34
C'est ainsi que se sentent considérés les salariés que l'on mute, déplace à coups de réorganisation.

Il est clair que dès qu'un nouveau dirigeant est nommé, il doit faire de nouvelles propositions à sa Direction. Alors, il touche les organigrammes, et passe des auditions pour démontrer la nécessité du changement, ce qu'il y a à en attendre.

Cependant, pour le salarié, ces changements de hiérarchie (parfois il faut à chaque fois refaire ses preuves avant son nouveau responsable), ces mutations sont autant de traumatisme, face à l'inconnu, face à un travail morcelé, à des tâches réaffectées.


Il y a toujours ceux qui ont su pousser leur pion à force de courbettes, et les autres qui subissent. C'est souvent cette douleur silencieuse, tue qui provoque des "pétages de plomb".

Aux dernières nouvelles, Xavier Darcos, le Ministre du Travail demande aux entreprises de faire un effort prenant en compte l'actualité tragique.

Dans l'organisation de l'entreprise, il est une Direction qui est fondamentale, celle des Ressources Humaines. Si cette Direction était composée de bons professionnels, capables de conseiller les dirigeants, qui ne sont pas forcément des "as du management", ce serait peut être un plus pour la société.

Souvent, ce sont des cadres commerciaux qui sont nommés aux points clés de l'entreprise, et souvent aussi, ce ne sont pas de grands directeurs d'équipe.

Malgré tous les stages, les séminaires, si le dirigeant n'a pas la fibre "humaine"... certes il n'est pas bon de parler "sensibilité", son aura vis-à-vis du personnel sera toujours limitée.

Souhaitons que la période que nous vivons permette aux entreprises d'avancer au niveau du management des hommes que l'on traite souvent comme des machines, de façon pire encore que les mineurs du temps de Zola.
Partager cet article
Repost0
3 octobre 2009 6 03 /10 /octobre /2009 21:20





En effet, nous avons constaté que l'employeur mal intentionné a tendance à vous adresser des courriers recommandés juste la veille du week end : pour bien vous pourrir vos éventuelles réunions familiales... et également pour vous pousser à la faute.

Ne jamais riposter sur le champ.. presque faire lire le courrier par quelqu'un d'autre qui peut le traiter.

Hélas, l'imagination chez les pervers ne connaît pas de limites.




Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de refugepourharceles
  • : Trouver des appuis face à une situation tragique où la terre semble se dérober sous vos pieds, quand vos collègues baissent la tête alors que vous vous noyez face au ciblage démoniaque d'un supérieur hiérarchique qui veut votre peau. Des réflexions, des idées, des repères, des infos anti solutions radicales. Des raisons d'espérer, de sublimer, de s'en sortir, avec l'aide de personnes qui ont expérimenté ce voyage en aller simple vers l'enfer qu'est le harcèlement moral en entreprise
  • Contact

Profil

  • refugepourharceles
  • tombée dans la marmite du harcèlement, tel Obélix dans sa potion magique, on doit en ressortir avec une force. Cependant, à force d'acharnement de l'employeur, j'ai fini par tomber en dépression majeure. Je souhaite partager mes connaissances en
  • tombée dans la marmite du harcèlement, tel Obélix dans sa potion magique, on doit en ressortir avec une force. Cependant, à force d'acharnement de l'employeur, j'ai fini par tomber en dépression majeure. Je souhaite partager mes connaissances en

Citations

Ceux qui aperçoivent la lumière avant les autres
sont condamnés à la poursuivre
en dépit des autres.

Christophe Colomb

Le Fort n'est pas celui qui ne tombe jamais
c'est celui qui tombe
se relève
et continue de marcher

Jacob


"Les postes éminents rendent les hommes grands encore plus grands, et les hommes petits encore plus petits"

Jean de la Bruyère

Recherche

Accompagnement musicalIma abru